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Photographie | Oiseaux | Ornithologie | Peinture | Dessins et plans | Oiseaux migrateurs | Bécasse des bois | Plantes | RyXéo | Dix-neuvième siècle | Musique | passereaux | Corbeaux (oiseaux) | Oiseaux des forêts | Poteaux en bois | Lombric | Gravure | ryxeo-yvain coudert | Grives | ryxeo-yvain coudert-imagier2013 | ...
Tourterelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d86511-tourterelle

Tourterelle

Tourterelle.

Bande de grives litornes posées dans un arbre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5172a0b1-bande-de-grives-litornes-posees-dans-un-arbre

Bande de grives litornes posées dans un arbre

Bande d'une dizaine de grives litornes posées dans un arbre en hiver. Cette espèce de grive se rencontre en France, en Belgique principalement en hiver, mais elle peut nidifier dans les régions boisées à l'est de la France, à l'est de la Belgique, ainsi qu'au nord et à l'est de l'Europe. L'aire estivale s'étend de la Laponie (et l'intérieur de la Scandinavie) à la Sibérie. Elle affectionne les bois et les prés de moyenne montagne. Contrairement aux autres espèces de grives, elle migre de jour en petites bandes.

Bécasse des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d48c9c-becasse-des-bois

Bécasse des bois

Bécasse des bois.

Bécasse des bois en bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e68a-becasse-des-bois-en-bord-de-mer

Bécasse des bois en bord de mer

Bécasse des bois en bord de mer affamée et perdue (hungry and homeless), 1908, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel.

Bécasse des bois et lombric. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e788-becasse-des-bois-et-lombric

Bécasse des bois et lombric

La bécasse des bois a besoin d'un humus riche et épais, où, grâce à son long bec, elle prélève les lombrics qui constituent l'essentiel de sa nourriture. Chaque soir ou presque, dès le crépuscule, la bécasse quitte ses remises forestières pour aller sur nourrir sur des prairies pâturées ou dans des vignes riches en lombrics où elle passe l'essentiel de ses nuits. En cours de journée, elle peut également se nourrir en fouillant l'humus des sous-bois à la recherche de lombrics, araignées et autres petits insectes grâce à son bec doté d'une mandibule supérieure articulée. Les gelées, en durcissant la terre, la chassent donc progressivement vers les plaines puis vers le sud, jusqu'au Maroc. En période durable de froid, la bécasse privilégie les sols acides qui gèlent plus difficilement, et lui permettent de trouver une alimentation encore accessible. En mars, les bécasses quittent les plaines pour remonter en altitude. Elles partent appariées et volent de nuit (dès le matin, elles se blottissent dans quelque bois et ne reprendront leur route que vers le soir).

Blanche Neige dans son cercueil de verre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bb5921-blanche-neige-dans-son-cercueil-de-verre

Blanche Neige dans son cercueil de verre

Blanche Neige dans son cercueil de verre, vers 1890, par Marianne Stokes (1855-1927). Inscription en anglais : (WE CANNOT LAY HER IN THE DARK EARTH, SAID THE DWARFS AND SO THEY HAD A TRASPARENT GLASS COFFIN MADE SO THAT SHE COULD BE SEEN FROM EVERY SIDE, LAID HER IN IT AND WROTE ON IT HER NAME AND THAT SHE WAS A KING'S DAUGHTER ; THEN THEY CARRIED THE COFFIN INTO THE WOOD AND SOME OF THEM ALWAYS WATCHED HER AND THE BIRDS ALSO CAME AND BEWAILED SNOWDROP. FIRST AN OWL THEN A RAVEN AND LASTLY A DOVE. SO SNOWDROP LAY A LONG TIME IN HER COFFIN LOOKING AS THOUGH SHE WERE ASLEEP). « Il ne faut pas l'enterrer sous-terre dans le noir ! » se dirent les nains. Alors ils fabriquèrent un cercueil trnsparent en verre pour qu'on puisse la voir de tout côté, ils l'allongèrent à l'intérieur avec une inscription portant son nom et précisant qu'elle était fille de roi. Puis ils transportèrent le cercueil dans le bois et firent la garde à tour de rôle. Et les oiseaux se joignirent à eux pour veiller sur Blanche-Neige : une chouette, un corbeau puis une tourterelle. C'est ainsi que Blanche-Neige reposa longtemps dans son cercueil, comme si elle y dormait.

Bois-joli. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f2b90-bois-joli

Bois-joli

Planche botanique N°281 de l'Atlas des Plantes de France, 1894 : Bois-joli (Daphne mezereum). Les fleurs rouges ou roses apparaissent en février, avant les feuilles, et exhalent une délicieuse odeur. Les drupes rouges mûrissent entre juillet et septembre. Elles sont toxiques pour les mammifères mais sont mangées par de nombreux oiseaux qui permettent leur dissémination.

Braconnage de bécasses des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e979-braconnage-de-becasses-des-bois

Braconnage de bécasses des bois

On chassait ou braconnait autrefois la volontiers la bécasse de nuit, quand elle quitte les fourrés pour partir à la recherche de nourriture, notamment en Bretagne, illustration gravée par Yan Dargent pour les Annales forestières, « Chronique forestière », chapitre "Les oiseaux des forêts" ; année 1868, volume 7. Légende d'époque : Ces oiseaux de passage, dont les chasseurs font le plus grand cas, nous arrivent par un temps sombre, le plus souvent la nuit ; ils s'abattent dans les taillis ou les futaies, et préfèrent les bois où il y a beaucoup de terreau humide et de feuilles mortes ; ils s'y trouvent si bien cachés qu'il faut des chiens pour les faire lever. Ils quittent ces fourrés à rentrée de la nuit pour se répandre dans les clairières en suivant les sentiers. C’est là qu'on les prend facilement au lacet. En Bretagne, on leur fait la chasse d'une singulière façon. Deux hommes se réunissent pour s'embusquer dans les pâturages de la forêt, où, sous les bousards (bouses) de vache, les bécasses trouvent une ample moisson de vers. L'un porte une lanterne et une sorte d'épinette fixée à l’extrêmité d'un long manche ; l'autre une de ces sonnettes qu'on attache au cou des vaches. Les oiseaux se laissent ainsi approcher d'assez près pour les enserrer dans les mailles d'un filet. La bécasse est, comme dit Belon, « une moult grosse bête, » si elle se laisse prendre de la manière qu'il raconte et qu'il nomme folâtrerie. « Un homme couvert d'une cape couleur de feuilles sèches, marchant courbé sur deux courtes béquilles, s'approche doucement, s'arrêtant lorsque la bécasse le fixe, continuant d'aller lorsqu'elle recommence à errer jusqu'à ce qu'il la voie s'arrêter la tête basse ; alors frappant doucement de ses deux bâtons l'un contre l'autre, la bécasse s'y amusera et affolera tellement, que le chasseur l'approchera d'assez près pour lui passer un lacet au cou. » La chair de la bécasse, y compris les excréments, est une friandise pour ceux qui l'aiment. C'est le cas de rappeler le proverbe latin : Degustibus... non est disputandum. Source : Belon, Histoire de la nature des oiseaux, p. S7S /Paris, 1355, in-fol. Jean-Édouard Dargent dit Yan' Dargent (1824-1899) est un peintre et illustrateur français dont la majeure partie de l'œuvre picturale est consacrée à sa région natale, la Bretagne.

Canard Mallard au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356a9ea-canard-mallard-au-quebec

Canard Mallard au Québec

Un spécimen de canard Colvert ou Canard Mallard au Québec (Anas platyrhynchos) au Bois de Coulonge à Québec (Canada). Le mâle des populations sauvages est aisément reconnaissable, pendant la période nuptiale (mue deux fois par an), par sa tête d'un vert brillant (d'où son nom). Le reste du plumage est gris-brun à blanc, avec un miroir alaire bleu-violet ; le bec est jaune. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Canard_colvert

Corbeau sur un poteau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5629f7d0-corbeau-sur-un-poteau

Corbeau sur un poteau

Corbeau perché sur un poteau électrique en bois.

Cornouiller sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050b7a0-cornouiller-sauvage

Cornouiller sauvage

Planche botanique du cornouiller sauvage (Cornus mas), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce doit son nom latin (cornu = corne) au fait que son bois est dur comme la corne : il était autrefois prisé pour la fabrication de flèches et de javelots, d'engrenages, de rayons de roues ou de manches d'outils. L'espèce est utile à la faune car lièvres et cerfs apprécient son feuillage, tout comme les abeilles apprécient ses fleurs précoces à la fin de l'hiver, et les oiseaux ses fruits en été.

Dessin de corbeau sur un poteau électrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/566b2cc4-dessin-de-corbeau-sur-un-poteau-electrique

Dessin de corbeau sur un poteau électrique

Dessin de corbeau sur un poteau électrique.

Engoulevents d'Amérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/58811937-engoulevents-d-amerique

Engoulevents d'Amérique

L’Engoulevent d'Amérique (Chordeiles minor) mâle en vol et engoulevent bois-pourri (Antrostomus vociferus), "La vie des oiseaux" (Bird-life; a guide to the study of our common birds),1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).

Gélinotte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eab0ad-gelinotte

Gélinotte

La Gélinotte des bois (Tetrastes bonasia) est une petite espèce de gallinacé appartenant à la famille des Phasianidae.

Grive. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ebf23f-grive

Grive

La Grive litorne (Turdus pilaris) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Turdidae. Elle affectionne les bois et les prés de moyenne montagne. Contrairement aux autres espèces de grives, elle migre de jour en petites bandes.

Gui à fruit blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050baf8-gui-a-fruit-blanc

Gui à fruit blanc

Planche botanique de gui (Viscum album), Atlas des Plantes de France, 1891 : plante traditionnelle, qui avec le houx, sert d'ornementation pour les fêtes de Noël et de fin d'année. Les francophones l'appellent aussi Bois de Sainte Croix ou Glu (sert de piège pour les oiseaux). Les Grecs associaient le gui à Hermès, grand messager de l'Olympe. En Europe du Nord, il est d'usage de s'embrasser sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie au moment des fêtes de Noël et du jour de l'an (à minuit précisément) : « Au gui l'an neuf ».

Jeune coucou geai en Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55075b6d-jeune-coucou-geai-en-namibie

Jeune coucou geai en Namibie

Jeune coucou geai (Clamator glandarius), Etosha en Namibie. Son aire de répartition s'étend sur l'Europe du Sud, l'Afrique du Nord, le Moyen-Orient et l'Afrique subsaharienne. En France, on ne trouve le coucou geai que dans la ceinture méditerranéenne, du Var aux Pyrénées Orientales : c'est un habitant des bois clairs de pins parasols, des espaces ouverts, secs et chauds. Le coucou geai se nourrit principalement de chenilles processionnaires des pins et autres insectes et larves. Il possède les mêmes mœurs parasitaires que le Coucou gris. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Coucou_geai

Kookaburra en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b62b-kookaburra-en-australie

Kookaburra en Australie

Le Martin-chasseur géant ou kookaburra (Dacelo novaeguineae), oiseau célèbre en Australie pour son cri. Oiseau mythique dans la culture aborigène, son chant ressemble à un rire rauque. Son nom australien (de la langue morte wiradjuri) est d'ailleurs "Laughing Kookaburra" (littéralement « Kookaburra rieur »). Il habite dans toutes les zones boisées où il peut trouver à proximité des zones dégagées pour pouvoir chasser. Il ne craint pas la proximité de l'homme. Comme tous les martins-chasseurs, il se nourrit en attendant patiemment installé sur une branche qu'une proie passe à proximité pour se précipiter dessus : carnivore, il mange ainsi souris et autres petits mammifères analogues, gros insectes, lézards, petits oiseaux et oisillons, et, surtout serpents. Il s'attaque de préférence à des proies plus petites que lui mais il n'est pas rare qu'il s'attaque par surprise à des animaux nettement plus gros que lui, en particulier des serpents venimeux. Les proies les plus petites sont avalées vivantes, les proies plus grosses sont d'abord tuées en les frappant vivement sur le sol.

La création des oiseaux et des poissons. Source : http://data.abuledu.org/URI/5929ed8a-la-creation-des-oiseaux-et-des-poissons

La création des oiseaux et des poissons

La création des oiseaux et des poissons, Genesis, Paul Nash.

La grande course - 26. Source : http://data.abuledu.org/URI/555e6e36-la-grande-course-26

La grande course - 26

"La Grande Course" - album de Cyri-L, avril 2015 : conte des origines du zodiaque chinois revisité. Le boeuf et le rat arrivent en vue du château de l'empereur.

Nid d'accenteur mouchet. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b47ad5-nid-d-accenteur-mouchet

Nid d'accenteur mouchet

Nid d'accenteur mouchet avec 6 oeufs bleus. Le nid a été construit dans une cagette contenant du bois mort.

Rouge-gorge tenant un lombric en son bec. Source : http://data.abuledu.org/URI/52dc4554-rouge-gorge-tenant-un-lombric-en-son-bec

Rouge-gorge tenant un lombric en son bec

Rouge-gorge (Erithacus rubecula) tenant un lombric (Lumbricus terrestris) dans son bec. La prédation est parfois l'occasion de transferts importants de matière organique, d'énergie et de nutriments d'une milieu vers un autre : Ici, le transfert se fait du compartiment du sol vers la strate herbacée et boisée, via le lombric consommé par le rouge-gorge familier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quilibres_pr%C3%A9dateurs-proies

Serinette. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fff60d-serinette-

Serinette

Serinette fabriquée par Bennard à Mirecourt, dans les Vosges, en 1757 exposée au Musée Historique de Lausanne : une serinette est un instrument de musique mécanique primitif assimilable à un orgue destiné à apprendre des mélodies courtes à des oiseaux siffleurs. Elle est à l'origine du verbe "seriner" (répéter de nombreuses fois). Ces instruments sont relativement simples. Ils sont composées d'un cylindre de bois comportant des pontets en métal. Ceux-ci commandent l'ouverture de petits clapets qui admettent de l'air dans des tubes d'orgue (généralement en étain) accordés au notes de l'instrument. L'air est brassé par deux soufflets en peau eux-mêmes actionnés par une manivelle. C'est également cette manivelle qui fait tourner le cylindre avec la mélodie au moyen d'une vis sans fin. Le morceau « enregistré » sur le cylindre dure de 10 à 20 secondes, dépendant beaucoup de la personne qui joue de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Serinette.

Vingt-quatre passereaux perchés. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1a07-vingt-quatre-passereaux-perches

Vingt-quatre passereaux perchés

C'est l'une des pièces les plus souvent reproduites de Giacomelli (1822-1909), intitulée "Passereaux alignés sur une tige de bois". On y voit vingt-quatre passereaux de toutes les couleurs, serrés les uns contre les autres et regardant dans toutes les directions. Giacomelli a illustré de Jules Michelet : L'Oiseau (1867), L'Insecte (1875) ; d'André Theuriet : Les Nids (1879), Sous Bois (1883), Nos Oiseaux (1886) ; de François Coppée : Les Mois illustrés (1891) ; d'Alfred de Musset : Histoire d'un merle blanc (1904).

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin